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Notre carnet de bord.

12 septembre 2007

Séance 1.

Séance du 11/09

- présentation du déroulement de l’année

- prise de contact avec Olivier

- projet sur Bond et les Pièces de Guerre: travailler autour du « rêve »

Lecture de quelques rêves « apocalyptiques » recueillis par le Collectif dont faisait parti      Olivier. Pour la prochaine séance, recueillir un rêve apocalyptique qui nous est personnel (ou en dernier cas recueillir le rêve de quelqu’un d’autre).

- exercice des « bulles » : les yeux fermés, se répartir dans l’espace et visualiser sa propre bulle. Repousser les parois avec douceur, puis avec force. Se déplacer dans l’espace, lentement, et ressentir la présence des autres. Puis, lorsque nous entrons en contact avec quelqu’un, repérer le point de contact et le garder. Continuer à se déplacer par 2, puis par 3 etc.. A la fin de l’exercice, ouvrir les yeux.

Surprise générale de tous par les groupes qui se sont formés et par nos positions dans l’espace.

- travail d’improvisation sur le rêve.

On se répartit tous tout autour de la salle sur des chaises. Silence. Quelqu’un se lève, le rêveur. Il ne porte son regard sur rien de précis, adopte le regard « périphérique », découvre son univers. Puis les autres interviennent tour à tour, soit par des sons, soit par des irruptions sur le plateau, soit en entrant directement dans le rêve.

Premier essai : après quelques longues minutes d’attente, Julie et Rémi se lèvent en même temps. Il y a donc deux rêveurs. Très vite cela devient confus, et les éléments interviennent beaucoup trop rapidement et successivement pour les rêveurs qui ne savent plus « où donner de la tête ».

Deuxième essai : c’est Agnès qui est le rêveur.  De bonnes idées , mais le rêveur ne doit pas nécessairement regarder là où l’action se déroule.

Troisième essai : Mathilde se lève. Aurélie propose un rêve basé sur l’école et sur la dictée. Dictée interrompue par l’envie pressante d’un élève, par une histoire d’élection de président de la république etc.. Olivier propose de reprendre cette même idée, mais en incluant le « soliloque du rêveur », qui se répète pour lui-même les paroles qu’il entend et commente ce qu’il voit (toujours pour lui-même).

Quatrième essai : Justine se lève. Très vite, une atmosphère étrange se met en place et les propositions se rejoignent pour faire comprendre que Justine semble perdue dans son propre rêve.

Fin de séance, essai de lecture "musicale" du "UN" de Rouge, Noir et Ignorant. Un élève lit, un autre prend le relai en superposant sa voix sur celui du précédent, lequel baisse la voix doucement; et ainsi de suite..

Petit Bonus, une photo de notre idole à tous

Sans_titre

His name is Bond...

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